L’efficacité des chimiothérapie
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L’efficacité des chimiothérapie
Bonjour tout le monde. Dans le doute, je me suis plongé quelque peu dans le monde de l’efficacité des chimiothérapie et je n’ai fait que trouver tout et son contraire :
https://blogs.mediapart.fr/ishtar/blog/060714/la-verite-tres-indesirable-sur-la-chimiotherapie
Un autre lien qui met l’accent sur l‘aspect économique :
http://www.dur-a-avaler.com/chimiotherapie-cytotoxique-conflit-interet-corruption/
Et un autre qui tente de démonter ce dernier :
http://www.dur-a-avaler.com/cytotoxiques-cancers-oncologie-mensonges-web-chimiotherapie-cancerologie/
sur lequel je me suis penché plus attentivement.
Voici mes observation quant à la manière dont le sujet est traité :
Puis l’auteur de l’article se base sur le fait qu’en 1985 cette forme de chimio est nouvelle et que les effets secondaires faisaient peur tout en sous-entendant que le traitement n’était pas au point et non affinés. Il évite de dire que ces mêmes formes de chimios sont toujours d’actualité. Il cite une autre étude datant 6 ans plus tard dans laquelle les prescripteurs auraient radicalement changé d’avis. Pour la forme, il omet même de sourcer ses dires. Ca commence bien.
L’auteur s’attaque ensuite à la dangerosité des chimios en évoquant cette méta-analyse sur les accidents iatrogènes en milieu hospitalier. Je ne peux vérifier car on ne peut accéder aux détails de cette analyse sans payer. Il nous fait croire que cette analyse ne tient pas compte du type de traitements et de pathologies analysées. Même si on ne mentionne pas le terme « chimiothérapie », le terme traitement anti-cancéreux se limite manifestement aux opérations, à la radiothérapie et la chimio.
Il va s’en dire que le traitement contre les cancers est de loin le plus lourd au niveau toxicité. Quelqu’un en doute ? Le comble est que les décès par chimio ne sont même pas comptabilisés dans les chiffres de mortalité par cancer. On considère bonnement que le décès survient prématurément avant que le traitement puisse montrer de l’efficacité ce qui fausse une nouvelle fois les chiffres de thérapies réussies en faveur de ce type de traitement.
"Un article de revue, parfois appelé review (en anglais), est un type particulier d'article publié dans les revues scientifiques dont le principe est de dresser un état des lieux dans un domaine particulier de la recherche et de dégager les directions particulières prises dans ce domaine. Sa forme, comme tous les articles scientifiques, peut aller de la rédaction théorique ou technique extrêmement spécialisée, ou aller vers une certaine forme de vulgarisation."
Et qui osera contredire que la chimio, comme beaucoup de traitements représentent une mine d’or pour l’industrie ? Comme si les intérêts des financeurs et des vendeurs étaient autres que économiques !
Comme dirait Coluche, « quand on a si peu à dire, on a le droit de fermer sa gueule »
Voici le résumé qui se trouve dans la bible scientifique Pubmed (malheureusement en anglais):
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/15630849
une autre étude qui conteste le bénéfice de ces traitements :
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/1339108
On attend toujours !
En résumé, nous sommes en présence d’un détracteur qui se contente de commenter sur le fond et de sodomiser les mouches, avec la seule intention d’enfumer son lectorat avec des affirmations en partie non sourcées et sans argumentation factuelle afin de déstabiliser toute personne qui viendrait à l’idée de s’informer.
Par la même occasion, j’aimerais comprendre comment toutes les soi-disant études ont pu être réalisées avec les tous les critères scientifiques requis sachant que pour des raisons éthiques il ne peut exister un groupe témoin. Je m’explique : pour qu’une étude soit sérieuse et digne de ce nom il faut pouvoir démontrer que l’absorption d’une substance apporte plus de bénéfice que celle d’un placebo. Or, je ne vois pas comment il serait possible de définir un groupe représentatif aléatoire en faisant croire que les cobayes bénéficient d’un vrai médicament. Une étude basée sur un seul groupe témoin est donc AMHA tout ce qu’il y a de plus anti-scientifique. En fin de compte, pour déterminer le taux d’efficacité, ça passe ou ça casse. Le seul fait que le patient survit est considéré comme un résultat positif. Cela n’est possible qu’en partant d’un postulat jamais démontré qui dit que tout cancer est mortel lorsque celui-ci n’est pas traité. C’est le chien qui se mord la queue. Car pour cela, il faudra d’abord réaliser cette étude impossible !
https://blogs.mediapart.fr/ishtar/blog/060714/la-verite-tres-indesirable-sur-la-chimiotherapie
Un autre lien qui met l’accent sur l‘aspect économique :
http://www.dur-a-avaler.com/chimiotherapie-cytotoxique-conflit-interet-corruption/
Et un autre qui tente de démonter ce dernier :
http://www.dur-a-avaler.com/cytotoxiques-cancers-oncologie-mensonges-web-chimiotherapie-cancerologie/
sur lequel je me suis penché plus attentivement.
Voici mes observation quant à la manière dont le sujet est traité :
Ca commence bien, on met en doute la fiabilité des sources. D’accord, le procédé de confronter le sérieux des liens vaut ce qu’il vaut, mais ça ne changerait pas grand-chose s’il n’y avait que un sur deux médecins qui affirmeraient cela. Ensuite, question fiabilité de sources, celles qui prônent le bénéfice de ces traitements ne font qu’appliquer le vieux principe de l’argument d’autorité…Est-ce que 3 médecins sur 4 refuseraient vraiment de suivre un traitement chimiothérapeutique aujourd’hui ? D’où vient ce chiffre ? Est-il fiable ?
Quoi qu’il en soit, si vous vous amusez à chercher sur le net des réponses sur ce sujet, vous allez tomber rapidement sur des sites comme Wikistrike, qui publiait en 2012, « 3 médecins sur 4 refusent la chimio pour eux-mêmes ».
Puis l’auteur de l’article se base sur le fait qu’en 1985 cette forme de chimio est nouvelle et que les effets secondaires faisaient peur tout en sous-entendant que le traitement n’était pas au point et non affinés. Il évite de dire que ces mêmes formes de chimios sont toujours d’actualité. Il cite une autre étude datant 6 ans plus tard dans laquelle les prescripteurs auraient radicalement changé d’avis. Pour la forme, il omet même de sourcer ses dires. Ca commence bien.
L’auteur s’attaque ensuite à la dangerosité des chimios en évoquant cette méta-analyse sur les accidents iatrogènes en milieu hospitalier. Je ne peux vérifier car on ne peut accéder aux détails de cette analyse sans payer. Il nous fait croire que cette analyse ne tient pas compte du type de traitements et de pathologies analysées. Même si on ne mentionne pas le terme « chimiothérapie », le terme traitement anti-cancéreux se limite manifestement aux opérations, à la radiothérapie et la chimio.
Il va s’en dire que le traitement contre les cancers est de loin le plus lourd au niveau toxicité. Quelqu’un en doute ? Le comble est que les décès par chimio ne sont même pas comptabilisés dans les chiffres de mortalité par cancer. On considère bonnement que le décès survient prématurément avant que le traitement puisse montrer de l’efficacité ce qui fausse une nouvelle fois les chiffres de thérapies réussies en faveur de ce type de traitement.
Mouais…tout ça pour ne rien dire…Malheureusement, les observations du Dr Jones, qui le conduisent à dire que les patients non traités par la chimio vont mieux que les autres, remontent aux années 70, 60 et peut-être même 50
Son lien ne fonctionne plus. Mais non seulement notre contradicteur ne source pas, mais il prétend que les données pourraient être des années 50. Il nous fait le coup du raccourci foireux du genre: » traitement moderne = plus efficace » alors que des études plus récentes n’ont toujours pas démontré le contraire.
« De nombreux oncologues recommandent la chimiothérapie pour presque tous les types de cancer, avec une foi qui n’est même pas ébranlée par des échecs presque constants. »
J’ai retrouvé la source de cette citation dans les archives du Lancet [3]. Le nom de l’auteur est valide, la citation également, avec une traduction ma foi toujours aussi bonne.
Pourtant, plusieurs points tempèrent cette citation :
Bien que ce soit publié dans le Lancet, ce n’est pas une « étude scientifique » dans le sens strict du terme, seulement un point de vue d’un médecin sur le sujet de l’oncologie.
Tout ça encore une fois pour ne rien dire en n’amenant rien de factuel en tout cas.« Même si les études cliniques visant à déterminer les raisons du blocage du mécanisme d’action des cytotoxiques n’ont pas encore améliorées les taux de réussites, ces études devraient se poursuivre »
Plus tard, l’auteur met en garde le monde médical sur le cancer, et propose de ralentir le rythme des prescriptions de chimiothérapie, et de les prescrire « uniquement quand il y a des chances raisonnables soit de rémission, soit de bénéfices dans la qualité et l’espérance de vie. »
Pour terminer, Albert Braverman, sollicite d’améliorer les connaissances en physiopathologie des cancers au lieu de mener « une course stérile sur les combinaisons de médicaments cytotoxiques ».
Finalement, la date de ce commentaire qui remonte à plus de 20 ans, avec un contexte en réalité moins tranché que l’on veut bien nous faire croire, tempère quelque peu l’impact négatif de cette citation sur les traitements chimio-thérapeutiques.
Et hop, on chipote sur la forme de l’information. Voici ce qu’est une « review », terme qui ne se donne même pas la peine d’expliquer à son lectorat grand public :En réalité, son étude n’en est pas une étude mais une review de nombreux articles publiés sur le cancer et la chimiothérapie
"Un article de revue, parfois appelé review (en anglais), est un type particulier d'article publié dans les revues scientifiques dont le principe est de dresser un état des lieux dans un domaine particulier de la recherche et de dégager les directions particulières prises dans ce domaine. Sa forme, comme tous les articles scientifiques, peut aller de la rédaction théorique ou technique extrêmement spécialisée, ou aller vers une certaine forme de vulgarisation."
Et dans quelle étude cela a été démontré ? Une référence d’étude ne serait pas de trop, non ?Certains cancers feraient état d’excellent taux de rémission avec les traitements cytotoxiques, comme les leucémies et les lymphomes, et à moindre mesure, les sarcomes et les cancers des testicules.
Dans ces travaux, le docteur Abel exclu donc les situations où la chimiothérapie serait la plus efficace et regarde principalement au niveau des stades avancés de cancers primaires.
Et hop, on laisse planer le doute en faisant passer le Dr. Joyeux pour un gars de mauvaise foi.J’ai donc contacté directement M. Joyeux depuis son site internet dans lequel je lui ai clairement expliqué que je me renseignais sur la chimiothérapie, et je lui ai demandé si il avait effectivement dit la phrase que je vous ai montré plus haut.
Je n’ai jamais eu de réponses, depuis plus de deux mois, et ceci malgré mes 3 demandes, ma foi polie, calme et sans montrer une certaine impatience.
Je n’aurais donc pas le fin mot de l’histoire directement par le premier intéressé et je ne saurais vous dire s’il s’agit d’un chiffre exact, issu de publications scientifiques, de méta-analyses, ou bien d’autre part.
Et qui osera contredire que la chimio, comme beaucoup de traitements représentent une mine d’or pour l’industrie ? Comme si les intérêts des financeurs et des vendeurs étaient autres que économiques !
Comme dirait Coluche, « quand on a si peu à dire, on a le droit de fermer sa gueule »
Des points forts et des points faibles ? Ah bon ?Je détaillerais également ma réflexion sur une étude qui fait office de pierre angulaire aux anti-chimio. Cette étude australienne aurait démontré le rôle très mineur des traitements chimio-thérapeutiques pour augmenter l’espérance de vie à 5 ans des patients [4]
Cette étude présente des points forts, des points faibles. On va y revenir longuement.
Voici le résumé qui se trouve dans la bible scientifique Pubmed (malheureusement en anglais):
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/15630849
une autre étude qui conteste le bénéfice de ces traitements :
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/1339108
On attend toujours !
En résumé, nous sommes en présence d’un détracteur qui se contente de commenter sur le fond et de sodomiser les mouches, avec la seule intention d’enfumer son lectorat avec des affirmations en partie non sourcées et sans argumentation factuelle afin de déstabiliser toute personne qui viendrait à l’idée de s’informer.
Par la même occasion, j’aimerais comprendre comment toutes les soi-disant études ont pu être réalisées avec les tous les critères scientifiques requis sachant que pour des raisons éthiques il ne peut exister un groupe témoin. Je m’explique : pour qu’une étude soit sérieuse et digne de ce nom il faut pouvoir démontrer que l’absorption d’une substance apporte plus de bénéfice que celle d’un placebo. Or, je ne vois pas comment il serait possible de définir un groupe représentatif aléatoire en faisant croire que les cobayes bénéficient d’un vrai médicament. Une étude basée sur un seul groupe témoin est donc AMHA tout ce qu’il y a de plus anti-scientifique. En fin de compte, pour déterminer le taux d’efficacité, ça passe ou ça casse. Le seul fait que le patient survit est considéré comme un résultat positif. Cela n’est possible qu’en partant d’un postulat jamais démontré qui dit que tout cancer est mortel lorsque celui-ci n’est pas traité. C’est le chien qui se mord la queue. Car pour cela, il faudra d’abord réaliser cette étude impossible !
Confucius- Modérateur
- Messages : 535
Re: L’efficacité des chimiothérapie
Merci pour ce travail de recherche. En effet il y aurait beaucoup à dire sur la chimiothérapie qui est un traitement couteux qui régale avant tout les labo, sans avoir réellement prouvé son efficacité.
Pour information, en fait la 1er chimio etait un traitement issu du recyclage du Gaz moutarde utilisé durant la dernière guerre mondiale. Voici un lien pour découvrir l’histoire de cette thérapie. Ca vaut le detour
https://nuage1962.wordpress.com/2016/08/29/le-saviez-vous-►-il-tait-une-fois-la-maladie-la-naissance-de-la-chimiothrapie/
Pour information, en fait la 1er chimio etait un traitement issu du recyclage du Gaz moutarde utilisé durant la dernière guerre mondiale. Voici un lien pour découvrir l’histoire de cette thérapie. Ca vaut le detour
https://nuage1962.wordpress.com/2016/08/29/le-saviez-vous-►-il-tait-une-fois-la-maladie-la-naissance-de-la-chimiothrapie/
Re: L’efficacité des chimiothérapie
Du gaz moutarde recyclé ? Même mon imagination est incapable de se plonger aussi loin dans la perversité de ceux qui l'on testé sur des humains
Confucius- Modérateur
- Messages : 535
Re: L’efficacité des chimiothérapie
Oui du gaz qui servait à faire la guerre! C’est fou non?
Ensuite il y a eu d’autres types de chimio qui ont été développés, plus médica-menteuses
Ensuite il y a eu d’autres types de chimio qui ont été développés, plus médica-menteuses
Re: L’efficacité des chimiothérapie
bonjour,
il faut se réveiller maintenant et de constater que la chimiothérapie dont on a toujours su qu'elle faisait des dégâts car touchant toute cellule qui se multiplie cancéreuse ou pas fait de plus en plus place à une chimiothérapie sélective en essayant de cibler les cellules cancéreuses et épargner les cellules saines.
hélas cette technique est réservée dans les centres spécialisés en cancéro à certains cancers une fois une batterie de tests effectués.
ce type de chimio est hélas trés couteuse (à les labo et l'argent!)
d'autres part la recherche se tourne de plus en plus vers certaines plantes et certains venins mais leur utilisation demande du temps et beaucoup de moyen.
bonne journée
il faut se réveiller maintenant et de constater que la chimiothérapie dont on a toujours su qu'elle faisait des dégâts car touchant toute cellule qui se multiplie cancéreuse ou pas fait de plus en plus place à une chimiothérapie sélective en essayant de cibler les cellules cancéreuses et épargner les cellules saines.
hélas cette technique est réservée dans les centres spécialisés en cancéro à certains cancers une fois une batterie de tests effectués.
ce type de chimio est hélas trés couteuse (à les labo et l'argent!)
d'autres part la recherche se tourne de plus en plus vers certaines plantes et certains venins mais leur utilisation demande du temps et beaucoup de moyen.
bonne journée
l'angevin- Messages : 306
Age : 67
Localisation : sur les bords de la Maine
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