Le secret des intestins
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Le secret des intestins
TRIPES=ESPRIT : le secret des intestins
Depuis des siècles, les philosophes s’étonnent de l’anagramme TRIPES = ESPRIT. D’après Michael Gershon, « le cerveau intestinal serait capable de se souvenir ; il participerait à la phase des rêves pendant le sommeil en produisant de la sérotonine et constituerait vraisemblablement la matrice biologique de l’inconscient. »
Bouddha lui-même disait qu’« un sage est quelqu’un dont les intestins fonctionnent bien » ! La Chine Taoïste connaît une technique, le Chi Nei Tsang, qui concentre son travail sur toute la sphère abdominale. Chi Nei Tsang signifie littéralement « travailler l’énergie des organes internes ». Cette discipline propose de résoudre les tensions profondément ancrées et de restaurer la vitalité physique comme psychique en travaillant sur les structures viscérales et le positionnement des organes internes. De nombreuses observations cliniques, plus récentes et plus proches de nous, permettent également de considérer les intestins comme le « cerveau des émotions ».
Les récentes recherches en embryologie (étude des embryons), ont conduit à une étonnante découverte : les cellules nerveuses de l’intestin proviennent du même feuillet embryologique que celles du cerveau. Cela signifie qu’à un moment donné du développement de l’embryon, des cellules nerveuses se séparent du cerveau principal pour migrer dans le ventre et former, au niveau des intestins, un second système nerveux, que l’on appelle le système nerveux entérique. Intestin et cerveau sont bien sûr séparés chez l’adulte, mais une communication permanente se maintient via le nerf vague, également appelé nerf n°X ou nerf pneumogastrique. Comme le cerveau, l’intestin comporte d’ailleurs des neurones, au nombre de 200 millions, et on y retrouve l’essentiel des neurotransmetteurs du cerveau (sérotonine, acétylcholine, noradrénaline, GABA…). L’exemple le plus spectaculaire est celui de la sérotonine, un neurotransmetteur qui influence les états d’âme et qui est produit à 95 % … par les cellules nerveuses de l’intestin ! Mais bien d’autres neurotransmetteurs sont impliqués, selon le gastroentérologue français Michel Delvaux, qui parle de « Sensibilité viscérale » dans son ouvrage du même nom. La découverte des liens entre cerveau et intestins est si révolutionnaire qu’elle a donné naissance à une nouvelle discipline : la neuro-gastro-entérologie. Michael Gershon, professeur d’Anatomie et Biologie Cellulaire de l’Université de Columbia aux Etats-Unis, a désigné les intestins comme le second cerveau, dans un livre célèbre, The Second Brain, paru en 1999. D’après Michael Gershon, « le cerveau intestinal serait capable de se souvenir ; il participerait à la phase des rêves pendant le sommeil en produisant de la sérotonine et constituerait vraisemblablement la matrice biologique de l’inconscient. »
SOURCE: http://www.santenatureinnovation.fr/quelles-solutions/bien-etre/une-nouvelle-therapie-nettoie-les-angoisses
Re: Le secret des intestins
épatant!
Une raison de plus de choisir son alimentation en conscience et de manger en conscience puisque le système nerveux entérique est en lien avec le système nerveux du cerveau!
Une raison de plus de choisir son alimentation en conscience et de manger en conscience puisque le système nerveux entérique est en lien avec le système nerveux du cerveau!
Vitale Mine- Messages : 2
Re: Le secret des intestins
Un autre article:
Le cortex cérébral n'a pas l'exclusivité des commandes sur notre organisme. Les chercheurs découvrent l'indépendance d'action de l'appareil digestif et sa capacité à régir nos émotions.
En transférant la flore intestinale d'une souris obèse à une autre qui ne l'était pas, des chercheurs de l'Institut national de la recherche agronomique (Inra) ont fait une découverte surprenante : non seulement l'animal s'est mis à grossir lui aussi, mais son comportement vis-à-vis de la nourriture a radicalement changé, tant au niveau des préférences gustatives que de la façon, plus compulsive, d'avaler ses rations. « Cela signifie que le contenu de notre ventre a indéniablement la capacité d'influencer le fonctionnement normal du cerveau », s'enthousiasme Karine Clément, directrice de l'Institut du métabolisme cardiovasculaire et de la nutrition (Ican) à l'hôpital de la Pitié-Salpêtrière.
Ces travaux pourraient se révéler d'une extrême importance dans la compréhension de nombreux dérèglements organiques. « Sans flore, pas de vie », souligne la nutritionniste. Sans doute 100.000 milliards de bactéries peuplent nos parois intestinales, dix fois plus que le nombre total de cellules du corps humain ! Cette constellation microbienne agit en symbiose avec son milieu « comme un organe en prise directe avec notre environnement », pressentent de plus en plus de gastroentérologues. Les travaux encore récents sur cette organisation bactérienne montrent que leur fonction dépasse de loin la simple usine à fermentation. « Nos microbes entériques protègent des mauvaises bactéries, produisent de la vitamine B et participent à la maturation du système immunitaire », détaille Dusko Ehrlich, professeur de microbiologie à l'Inra et coordinateur de deux projets d'étude du microbiote intestinal, Meta HIT et MetaGenoPolis.
Des neurones dans l'intestin
Mais il y a mieux : comme notre cerveau, notre ventre produit également de la sérotonine, un des neurotransmetteurs qui participent à la gestion de nos émotions ! Et pas qu'un peu : 95 % de la sérotonine totale de notre corps, selon les dernières découvertes. Pour les gastroentérologues, l'accumulation de ces indices confirme une intuition raillée des neurologues : notre « tripaille » est douée d'une certaine intelligence. Dans un livre choc, « The Second Brain », paru en 1999, Michael Gershon, professeur au département d'anatomie et de biologie cellulaire de l'université de Colombia à New York, émettait déjà cette hypothèse. « 200 millions de neurones, autant que dans le cerveau d'un chien, tapissent la paroi intestinale, écrit-il. Ces cellules proviennent du même feuillet embryonnaire que celles du cerveau, qu'elles quittent à un stade précoce du développement pour migrer dans le ventre, où elles forment un système nerveux entérique. »
Les travaux des neuro-gastroentérologues, une discipline née de ces premières recherches, ont mis en évidence quelques fonctions inattendues de ce système nerveux décentralisé, telles que la modification du taux de prolifération des cellules des muqueuses intestinales ou l'innervation des organes voisins. Il sait également réagir en cas de danger sans en référer au cerveau, par exemple en provoquant des vomissements pour expulser un produit toxique. Il concentre enfin plus de 70 % des cellules du système immunitaire et semble diriger depuis ses muqueuses molles tout le système de défense de l'organisme.
« Le ventre est notre premier cerveau, voire notre cerveau original, va jusqu'à avancer Michel Neunlist, chercheur Inserm à l'Institut des maladies de l'appareil digestif. Les premiers organismes unicellulaires n'étaient-ils pas composés d'un simple tube digestif, où a pris place ce système nerveux entérique ? »
La matrice de l'inconscient
Grâce à d'autres neurotransmetteurs que la sérotonine, ce « cerveau du bas » qui assimile les aliments digérerait aussi nos émotions, donnant foi aux expressions populaires : « avoir l'estomac noué » quand on a « la peur au ventre », prendre des décisions « viscérales », « avoir des tripes »... « Avec ses substances psychoactives endogènes, le ventre a le pouvoir de donner naissance à du découragement ou de l'enthousiasme, de l'impuissance ou du plaisir, de la dépression ou de l'accomplissement », est persuadé Michael Gershon. Il serait même doué de mémoire et contiendrait les archives de notre vie émotionnelle, constituant vraisemblablement « la matrice biologique de l'inconscient » participant à la rédaction de nos rêves !
S'ils ne coopéraient pas, ces deux cerveaux, un pour penser, un autre pour ressentir, sèmeraient le chaos dans l'organisme. Une conversation continue s'opère donc entre la tête et le ventre à travers le nerf vague (ou pneumogastrique), nerf crânien convoyant des informations motrices, sensitives, sensorielles et parasympathiques de l'un à l'autre. Ce dialogue ouvre d'immenses espoirs thérapeutiques. Dès 2010, Michel Neunlist et Pascal Derkinderen ont découvert qu'une simple biopsie du côlon pouvait permettre de retrouver à l'identique dans les neurones digestifs la présence d'anomalies bien connues dans le cerveau de patients atteints de Parkinson.
Cette avancée a déjà permis aux chercheurs de résoudre un problème pratique majeur dans l'étude de la maladie : étudier les lésions sur des patients vivants - ce que la nécessité de disséquer leurs cerveaux rendait jusqu'alors impossible. « Le ventre est une fenêtre ouverte sur le système nerveux central », résume Michel Neunlist, qui a quantifié et qualifié les neurones impliqués et déduit les liens entre les lésions et les signes cliniques. A terme, les biopsies pourront être utilisées comme marqueurs précoces de la maladie. « On pourrait ainsi déterminer le stade d'avancement du mal à partir de l'analyse de simples biopsies coliques effectuées à l'hôpital lors de coloscopies, explique Pascal Derkinderen. Si nos résultats se confirment à grande échelle, il sera possible de faire un diagnostic de sévérité de la maladie de Parkinson du vivant du patient et d'ajuster le traitement et la prise en charge. » Karine Clément, elle, rêve du jour où elle pourra transférer à ses patients ultra-obèses de la Pitié-Salpêtrière la flore intestinale de patients sains.
Les intestins, notre deuxieme cerveau
Le cortex cérébral n'a pas l'exclusivité des commandes sur notre organisme. Les chercheurs découvrent l'indépendance d'action de l'appareil digestif et sa capacité à régir nos émotions.
En transférant la flore intestinale d'une souris obèse à une autre qui ne l'était pas, des chercheurs de l'Institut national de la recherche agronomique (Inra) ont fait une découverte surprenante : non seulement l'animal s'est mis à grossir lui aussi, mais son comportement vis-à-vis de la nourriture a radicalement changé, tant au niveau des préférences gustatives que de la façon, plus compulsive, d'avaler ses rations. « Cela signifie que le contenu de notre ventre a indéniablement la capacité d'influencer le fonctionnement normal du cerveau », s'enthousiasme Karine Clément, directrice de l'Institut du métabolisme cardiovasculaire et de la nutrition (Ican) à l'hôpital de la Pitié-Salpêtrière.
Ces travaux pourraient se révéler d'une extrême importance dans la compréhension de nombreux dérèglements organiques. « Sans flore, pas de vie », souligne la nutritionniste. Sans doute 100.000 milliards de bactéries peuplent nos parois intestinales, dix fois plus que le nombre total de cellules du corps humain ! Cette constellation microbienne agit en symbiose avec son milieu « comme un organe en prise directe avec notre environnement », pressentent de plus en plus de gastroentérologues. Les travaux encore récents sur cette organisation bactérienne montrent que leur fonction dépasse de loin la simple usine à fermentation. « Nos microbes entériques protègent des mauvaises bactéries, produisent de la vitamine B et participent à la maturation du système immunitaire », détaille Dusko Ehrlich, professeur de microbiologie à l'Inra et coordinateur de deux projets d'étude du microbiote intestinal, Meta HIT et MetaGenoPolis.
Des neurones dans l'intestin
Mais il y a mieux : comme notre cerveau, notre ventre produit également de la sérotonine, un des neurotransmetteurs qui participent à la gestion de nos émotions ! Et pas qu'un peu : 95 % de la sérotonine totale de notre corps, selon les dernières découvertes. Pour les gastroentérologues, l'accumulation de ces indices confirme une intuition raillée des neurologues : notre « tripaille » est douée d'une certaine intelligence. Dans un livre choc, « The Second Brain », paru en 1999, Michael Gershon, professeur au département d'anatomie et de biologie cellulaire de l'université de Colombia à New York, émettait déjà cette hypothèse. « 200 millions de neurones, autant que dans le cerveau d'un chien, tapissent la paroi intestinale, écrit-il. Ces cellules proviennent du même feuillet embryonnaire que celles du cerveau, qu'elles quittent à un stade précoce du développement pour migrer dans le ventre, où elles forment un système nerveux entérique. »
Les travaux des neuro-gastroentérologues, une discipline née de ces premières recherches, ont mis en évidence quelques fonctions inattendues de ce système nerveux décentralisé, telles que la modification du taux de prolifération des cellules des muqueuses intestinales ou l'innervation des organes voisins. Il sait également réagir en cas de danger sans en référer au cerveau, par exemple en provoquant des vomissements pour expulser un produit toxique. Il concentre enfin plus de 70 % des cellules du système immunitaire et semble diriger depuis ses muqueuses molles tout le système de défense de l'organisme.
« Le ventre est notre premier cerveau, voire notre cerveau original, va jusqu'à avancer Michel Neunlist, chercheur Inserm à l'Institut des maladies de l'appareil digestif. Les premiers organismes unicellulaires n'étaient-ils pas composés d'un simple tube digestif, où a pris place ce système nerveux entérique ? »
La matrice de l'inconscient
Grâce à d'autres neurotransmetteurs que la sérotonine, ce « cerveau du bas » qui assimile les aliments digérerait aussi nos émotions, donnant foi aux expressions populaires : « avoir l'estomac noué » quand on a « la peur au ventre », prendre des décisions « viscérales », « avoir des tripes »... « Avec ses substances psychoactives endogènes, le ventre a le pouvoir de donner naissance à du découragement ou de l'enthousiasme, de l'impuissance ou du plaisir, de la dépression ou de l'accomplissement », est persuadé Michael Gershon. Il serait même doué de mémoire et contiendrait les archives de notre vie émotionnelle, constituant vraisemblablement « la matrice biologique de l'inconscient » participant à la rédaction de nos rêves !
S'ils ne coopéraient pas, ces deux cerveaux, un pour penser, un autre pour ressentir, sèmeraient le chaos dans l'organisme. Une conversation continue s'opère donc entre la tête et le ventre à travers le nerf vague (ou pneumogastrique), nerf crânien convoyant des informations motrices, sensitives, sensorielles et parasympathiques de l'un à l'autre. Ce dialogue ouvre d'immenses espoirs thérapeutiques. Dès 2010, Michel Neunlist et Pascal Derkinderen ont découvert qu'une simple biopsie du côlon pouvait permettre de retrouver à l'identique dans les neurones digestifs la présence d'anomalies bien connues dans le cerveau de patients atteints de Parkinson.
Cette avancée a déjà permis aux chercheurs de résoudre un problème pratique majeur dans l'étude de la maladie : étudier les lésions sur des patients vivants - ce que la nécessité de disséquer leurs cerveaux rendait jusqu'alors impossible. « Le ventre est une fenêtre ouverte sur le système nerveux central », résume Michel Neunlist, qui a quantifié et qualifié les neurones impliqués et déduit les liens entre les lésions et les signes cliniques. A terme, les biopsies pourront être utilisées comme marqueurs précoces de la maladie. « On pourrait ainsi déterminer le stade d'avancement du mal à partir de l'analyse de simples biopsies coliques effectuées à l'hôpital lors de coloscopies, explique Pascal Derkinderen. Si nos résultats se confirment à grande échelle, il sera possible de faire un diagnostic de sévérité de la maladie de Parkinson du vivant du patient et d'ajuster le traitement et la prise en charge. » Karine Clément, elle, rêve du jour où elle pourra transférer à ses patients ultra-obèses de la Pitié-Salpêtrière la flore intestinale de patients sains.
Paul Molga - Les Echos
Re: Le secret des intestins
J'avais déjà entendu parler de ça; j'en reste sur le c..heu, sur les fesses
Cela explique pas mal de choses; comme les crampes de ventre pendant les périodes de stress par exemples...
Cela explique pas mal de choses; comme les crampes de ventre pendant les périodes de stress par exemples...
Yoda- Modérateur
- Messages : 268
Age : 36
Localisation : Belgique, Gilly
Helicobacter Pilori
Appel à tous et toutes,
Je cherche une façon de combattre EFFICACEMENT l'HELICOBACTER PILORI ? Merci !
Re: Le secret des intestins
Bonjour Tanzanite
Pour ma part, j'ai réussi à me guerir d'un ElicoBacter Pilori, rien qu'en prenant de l'extrait de pepins de pamplemousse. Par contre il ne faut pas lesiner sur la quantité ( moi je prenais 40 gouttes soir et matin et durant deux mois.) evite par ailleurs les aliment acidifiant, cela favorisera une meilleur cicatrisation de la muqueuse digestive.
Il y a aussi le miel de manuka qui fonctionne trés bien. Par contre renseigne toi sur les différents indices, il ont chacun un champs d'action dfifférent. Il y en a un d'indice élevé qui soigne l'Elicobacter Pilori.
Pour ma part, j'ai réussi à me guerir d'un ElicoBacter Pilori, rien qu'en prenant de l'extrait de pepins de pamplemousse. Par contre il ne faut pas lesiner sur la quantité ( moi je prenais 40 gouttes soir et matin et durant deux mois.) evite par ailleurs les aliment acidifiant, cela favorisera une meilleur cicatrisation de la muqueuse digestive.
Il y a aussi le miel de manuka qui fonctionne trés bien. Par contre renseigne toi sur les différents indices, il ont chacun un champs d'action dfifférent. Il y en a un d'indice élevé qui soigne l'Elicobacter Pilori.
Dernière édition par Kiwi le Sam 16 Aoû 2014 - 15:42, édité 1 fois
Merci !
Grand merci Kiwi.
Je prends du Mastic de la cie AOR, arbre grecque. Je prends du propolis, de la gelée royale d'abeilles, du miel de Manuka #4.
Mais ma fille, qui en souffre aussi, est réactive aux produits de l'abeille. Je vais donc lui parler de l'extrait de pépins de pamplemousse et l'ajouter moi aussi à mon cocktail !!! Merci !!!!
Je prends du Mastic de la cie AOR, arbre grecque. Je prends du propolis, de la gelée royale d'abeilles, du miel de Manuka #4.
Mais ma fille, qui en souffre aussi, est réactive aux produits de l'abeille. Je vais donc lui parler de l'extrait de pépins de pamplemousse et l'ajouter moi aussi à mon cocktail !!! Merci !!!!
Re: Le secret des intestins
d'ailleurs combien d'entre nous en cas de stress, de peur ou autre ressentent quasi immédiatement des répercutions au niveau intestinal?
et les souffrances psy se répercutent également sur le transit, la flore intestinale etc.
et les souffrances psy se répercutent également sur le transit, la flore intestinale etc.
~Caitlyn~- Messages : 24
Re: Le secret des intestins
Merci beaucoup pour tous ces liens. ok
Joss01400- Messages : 44
Localisation : Châtillon sur Chalarone Ain
Re: Le secret des intestins
Quel est le nom de ce livre qui fait fureur, qui parle de ça..
C'est un best-seller, que je n'ai pas encore lu...
Oui, quand on a une contrariété ou stress, cela se répercute immédiatement sur les intestins, ''j'ai mal au ventre", dit-on...
cosmos- Messages : 11
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