4 clés de régénération holistique
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4 clés de régénération holistique
4 CLÉS DE RÉGÉNÉRATION HOLISTIQUE
Seule une approche holistique et multidimensionnelle de notre constitution, permet de comprendre le mécanisme des principes vitaux:
Nous sommes principalement composés d'énergie et ce sont nos corps énergétiques qui réagissent en premier à toute agression, quelle qu'elle soit. La maladie commence toujours dans nos corps énergétiques, avant d'apparaitre dans notre corps physique. Il existe un temps de latence assez long entre ces deux états. Idem pour la guérison qui se produira d'abord dans nos corps énergétiques avant d'être effective dans notre corps physique.
L'immunité est une notion assez complexe. Le système immunitaire n'est pas simplement physique mais aussi énergétique et psychologique. Le corps ne fait aucune distinction entre une agression par un virus, un microbe ... Et un stress physique ou emotionnel. Pour lui c'est un danger et il y réagit de la même maniere, c'est à dire en mobilisant des défenses naturelles. C'est en partie de là que vient notre épuisement surrénalien, l'un des premiers organes impliqués dans le processus réactif du système sympathique.
Le stress, les émotions négatives, les rayonnements electromagnétiques sont des facteurs majeurs d'acidification. Revoir son régime alimentaire pour guérir ne suffit pas, quand à côté on passe ses journées devant un écran, que l'on est entouré de wifi, que l'on a des tendances à la négativité émotionnelle, ou que l'on vit dans un environnement tout simplement stressant.
Le nettoyage intérieur et la démarche de régénération doivent se faire en même temps au niveau du corps et de l'esprit. Et par une hygiène de vie globale, incluant la suppression ou la réduction maximale de tous les agents polluants, qu'ils soient alimentaires, environnementaux, psychiques ou énergétiques. Corps et esprit sont indissociables pour soutenir l'homéostasie.
Kiwi
Re: 4 clés de régénération holistique
Nos corps énergétiques réagissent effectivement en premier. Il a été vérifié, par exemple, en saturant énergétiquement un sensitif et en déplaçant son corps éthérique donc énergétique, qu'une piqûre de ce corps faisait réagir instantanément le corps physique situé à proximité.
Il y a aussi d'autres cas à considérer, par exemple, le stress qui va occasionner une consommation excessive d'énergie vitale par l'organisme, non compensable de manière naturelle, le résultat étant un terrain favorable au développement de pathologies.
Le système immunitaire consomme de l'énergie vitale pour assurer son bon fonctionnement. En temps normal, l'énergie vitale captée par le "bain" énergétique issu de l'environnement et complété par la respiration abdominale assure un niveau correct dans l'organisme.
En cas d'agression virale, par exemple en présence d'un zona, le système immunitaire consomme localement une grande quantité d'énergie vitale, malheureusement la circulation interne d'énergie vitale est relativement lente avec apparition d'un déficit local important, déficit qui perdure ensuite occasionnant des douleurs vives.
En réaction, l'organisme cherche à aspirer un maximum d'énergie dans l'environnement. Le lieu de l'aspiration est la zone atteinte par le virus.
Un émetteur énergétique vital, possédant un potentiel énergétique élevé et ayant la possibilité d'émettre l'énergie passant à proximité peut identifier cette aspiration sachant que l'aspiration caractérise déjà une opération de compensation du manque puisque l'échange s'effectue suivant le principe des vases communicants (déversement de l'énergie du niveau élevé au niveau plus faible).
L'émetteur énergétique (magnétiseur par exemple) peut volontairement amplifier le débit du fluide transmis en réduisant la distance entre lui et l'organisme receveur (cas d'une séance de soin)
C'est un mécanisme universel valable aussi pour les animaux et le domaine végétal.
Une fois la compensation du manque énergétique effectuée dans la zone en déficit, le système immunitaire retrouve sa capacité d'action et chasse le virus avec une disparition très rapide des douleurs.
Il faut effectivement éviter tout ce qui peut agresser l'organisme et le fragiliser de manière à maintenir le potentiel énergétique au niveau nécessaire à son bon fonctionnement.
La respiration abdominale et surtout l'exercice physique permettent de maintenir un bon niveau énergétique mais permettent aussi l'accumulation énergétique au-dessus du seuil nécessaire au bon fonctionnement pour ceux qui ont cette capacité.
Au moment de la mort (celle considérée officiellement), certaines parties de l'organisme continuent à fonctionner tant que le potentiel énergétique vital est suffisant, c'est le cas aussi des prélèvements d'organe puisque le "bain" énergétique est suffisant pour maintenir le potentiel énergétique vital à un niveau acceptable.
ça se gâte quand, au fil du temps, des bactéries ou autres, cherchent à profiter de la baisse énergétique vitale pour se développer. Dans ces conditions, l'organisme ou une partie d'organisme cherche à aspirer l'énergie vitale qui lui manque dans l'environnement.
L'action d'un émetteur énergétique va initier une action de protection qui va se traduire par un déshydratation accélérée mettant les tissus à l'abri des agressions (vérifié à travers un cercueil).
Dans certains cas complexes, cas d'une tomate, par exemple, l'action peut se traduire par une germination accélérée des graines avec conservation de l'état de la tomate avant de passer à la phase déshydratation accélérée.
L'énergie vitale est fondamentale pour l'organisme, dommage que la communauté scientifique s'intéresse pratiquement uniquement au corpusculaire.
Il y a aussi d'autres cas à considérer, par exemple, le stress qui va occasionner une consommation excessive d'énergie vitale par l'organisme, non compensable de manière naturelle, le résultat étant un terrain favorable au développement de pathologies.
Le système immunitaire consomme de l'énergie vitale pour assurer son bon fonctionnement. En temps normal, l'énergie vitale captée par le "bain" énergétique issu de l'environnement et complété par la respiration abdominale assure un niveau correct dans l'organisme.
En cas d'agression virale, par exemple en présence d'un zona, le système immunitaire consomme localement une grande quantité d'énergie vitale, malheureusement la circulation interne d'énergie vitale est relativement lente avec apparition d'un déficit local important, déficit qui perdure ensuite occasionnant des douleurs vives.
En réaction, l'organisme cherche à aspirer un maximum d'énergie dans l'environnement. Le lieu de l'aspiration est la zone atteinte par le virus.
Un émetteur énergétique vital, possédant un potentiel énergétique élevé et ayant la possibilité d'émettre l'énergie passant à proximité peut identifier cette aspiration sachant que l'aspiration caractérise déjà une opération de compensation du manque puisque l'échange s'effectue suivant le principe des vases communicants (déversement de l'énergie du niveau élevé au niveau plus faible).
L'émetteur énergétique (magnétiseur par exemple) peut volontairement amplifier le débit du fluide transmis en réduisant la distance entre lui et l'organisme receveur (cas d'une séance de soin)
C'est un mécanisme universel valable aussi pour les animaux et le domaine végétal.
Une fois la compensation du manque énergétique effectuée dans la zone en déficit, le système immunitaire retrouve sa capacité d'action et chasse le virus avec une disparition très rapide des douleurs.
Il faut effectivement éviter tout ce qui peut agresser l'organisme et le fragiliser de manière à maintenir le potentiel énergétique au niveau nécessaire à son bon fonctionnement.
La respiration abdominale et surtout l'exercice physique permettent de maintenir un bon niveau énergétique mais permettent aussi l'accumulation énergétique au-dessus du seuil nécessaire au bon fonctionnement pour ceux qui ont cette capacité.
Au moment de la mort (celle considérée officiellement), certaines parties de l'organisme continuent à fonctionner tant que le potentiel énergétique vital est suffisant, c'est le cas aussi des prélèvements d'organe puisque le "bain" énergétique est suffisant pour maintenir le potentiel énergétique vital à un niveau acceptable.
ça se gâte quand, au fil du temps, des bactéries ou autres, cherchent à profiter de la baisse énergétique vitale pour se développer. Dans ces conditions, l'organisme ou une partie d'organisme cherche à aspirer l'énergie vitale qui lui manque dans l'environnement.
L'action d'un émetteur énergétique va initier une action de protection qui va se traduire par un déshydratation accélérée mettant les tissus à l'abri des agressions (vérifié à travers un cercueil).
Dans certains cas complexes, cas d'une tomate, par exemple, l'action peut se traduire par une germination accélérée des graines avec conservation de l'état de la tomate avant de passer à la phase déshydratation accélérée.
L'énergie vitale est fondamentale pour l'organisme, dommage que la communauté scientifique s'intéresse pratiquement uniquement au corpusculaire.
cl777- Messages : 274
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