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Des guérisseurs dans les hôpitaux

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Des guérisseurs dans les hôpitaux Empty Des guérisseurs dans les hôpitaux

Message par Dair Dim 17 Aoû 2014 - 11:14

Cela peut arriver à n’importe qui. Vous vous êtes brûlé, vous courez aux urgences. Vous souffrez affreusement malgré les antalgiques. Vous hélez l’infirmière qui réagit de façon imprévue : elle vous demande si cela vous dirait d’appeler un coupeur de feu. « Un quoi ? » Elle vous tend une liste de numéros de téléphone et dit à voix basse : « Ça peut paraître bizarre mais ils ont déjà soulagé quantité de patients. Rien d’officiel, mais nous vous garantissons que c’est sans danger. » La douleur est telle que vous n’hésitez pas longtemps avant de pianoter sur votre portable. Une voix vous demande juste votre nom. Vingt minutes plus tard, la souffrance a disparu.

Cette scène est devenue presque banale dans certains services hospitaliers, à Saint-Brieuc, Rodez, Annemasse ou Marseille, où l’on nous confirme – de façon en général officieuse – que l’on fait régulièrement appel aux « coupeurs (ou barreurs) de feu ». Pour soulager la douleur, pour accélérer la cicatrisation des brûlures, suite à un accident ou, de plus en plus, lors d’un traitement du cancer par radiothérapie.



Cette étrangeté n’est que la partie émergée d’un vaste ensemble. Contre toute attente, à l’ère scientifique, même dans notre très cartésienne France, médecins et guérisseurs (ou magnétiseurs, ou praticiens reiki, ou coupeurs de feu) collaborent de multiples façons. Pour traiter des urgences ou des troubles chroniques réputés inguérissables.



Quels médecins osent en parler ? Rarement les pontes, dont la plupart ne sont d’ailleurs pas au courant. Patron des urgences à l’hôpital Nord de Marseille, le docteur Philippe Jean lève un sourcil perplexe : « Coupeur de feu ? Connais pas. Mais je vais demander à mes infirmières si elles en ont entendu parler. » Ces dernières lui répondront par l’affirmative… sans s’avancer davantage, le sujet est risqué. Même curiosité étonnée de la part de la cancérologue Laure Copel, à l’institut Curie – à qui sa responsable des soins répondra, elle, par la négative. Chef du service d’oncologie médicale à l’hôpital européen George-Pompidou, à Paris, le professeur Jean-Marie Andrieu a déjà eu vent, lui, de ces « magnétiseurs censés vous retirer le feu ». Mais il doute du sérieux de l’affaire : « Ça se saurait ! Dommage, je ne demanderais pas mieux, on a tant de complications en radiothérapie. Ramenez-moi un seul cas traité par vos magiciens et observé selon les critères scientifiques et on en reparle. »



Le flirt entre système hospitalier et guérisseurs se joue davantage dans le monde des infirmières que dans celui des médecins. Discrètement informés, les chefs de clinique laissent souvent faire… à condition que l’on n’en sache rien. Toutefois, certains s’y intéressent, avec un mélange de perplexité et de fascination, et prennent le risque d’en parler.



Le discours des médecins



Ancien chef de clinique en cardiologie puis en médecine interne, devenu psychiatre, enseignant en psychothérapie à la faculté de Bordeaux, le professeur Gérard Ostermann a depuis longtemps repéré les facultés hors normes de certaines guérisseuses. « La première s’appelait Claudine. On la consultait discrètement à l’Institut de cancérologie de Reims, soit pour aider à déceler la source d’un mal qu’on ne parvenait pas à élucider, soit pour confirmer une hypothèse peu sûre. La pertinence de son ressenti était stupéfiante. Elle devenait moins fiable quand elle tentait d’intellectualiser la chose et se piquait de donner ses interprétations. Depuis, j’en ai connu plusieurs. Leur capacité à soigner toutes sortes de maux de façon “énergétique” est indéniable – des brûlures aux rhumatismes, des abcès aux calculs. Je reste fasciné par leur diagnostic, un vrai scanner, et par leur humilité : la majorité ne se fait pas payer. Les guérisseurs ne deviennent dangereux que quand leur ego enfle et qu’ils prétendent faire de la science. Globalement, ce qu’ils font bouleverse notre vision de la maladie, du corps, de la médecine, du réel… Tout est à revoir ! »






Pour la plupart des médecins qui osent évoquer leur collaboration avec les guérisseurs, celle-ci se justifie de façon très pragmatique. Ainsi, le docteur Alain Marre, chef du service de radio-oncologie du centre hospitalier de Rodez (Aveyron) : « Voilà plus de trente ans que j’oriente mes patients vers des guérisseurs pour soulager les douleurs, sans a priori : j’ai juste constaté que cela améliorait leur état. Dois-je refuser sous prétexte qu’on ignore comment ça marche ? »



Dans un documentaire de Jean-Yves Bilien, « Les Guérisseurs, la foi, la science », Martine Gardénal, présidente de la Société des médecins homéopathes spécialistes, confirme : « Je connais plusieurs magnétiseurs aux capacités spectaculaires pour arrêter un zona, guérir une brûlure, lever une stérilité. Je me pose évidemment des questions. Si ça marche, pourquoi pas ? » Interviewé dans « Les Guérisseurs », documentaire de Stéphane Allix diffusé sur M6 en 2010, le docteur Dominique Baron, chef de service d’un centre de rééducation à Saint-Brieuc, témoigne de la guérison incompréhensible d’une jeune femme paraplégique après l’intervention d’un magnétiseur réputé de Saint-Brieuc, Jean-Luc Bartoli. Ce dernier vient de faire paraître un livre où il relate ses échanges avec plusieurs médecins (page 75).



Les témoignages abondent. L’un des plus structurés est celui de Claire Guillemin, chef du service de radio-oncologie de l’hôpital de la Source, à Lausanne. Que dit-elle ? Que l’action des guérisseurs réussit incontestablement à accélérer la guérison des tissus après les traitements anticancer. Et que cela oblige les praticiens à revoir leur vision des choses : « Ces gens-là semblent travailler sur des niveaux de la personne (émotions, pensées, croyances, généalogie…) auxquels la médecine moderne n’a pas accès. Il nous faut explorer cela, de grandes découvertes sont peut-être à la clé. »



L’action concrète des guérisseurs



D’une dizaine d’interviews de guérisseurs se dégage un profil type. Rares sont ceux qui voient leur « don » se déclencher en cours de vie, telle Patricia Alleli, d’Aix-en-Provence, qui l’a découvert à 48 ans, après un accident cérébral. Généralement, ça commence très jeune. Dès l’âge de 4 ans, Jean-Luc Bartoli, ne supporte pas de voir quelqu’un souffrir et pose compassionnellement ses mains sur lui. Au même âge, Brigitte, de Besançon, sauve quelques-uns des lapins mortellement malades de sa grand-mère : ceux sur le ventre desquels elle a posé les mains. A 5 ans, Corinne, de Marseille, fait du bien à tous ceux qu’elle touche, notamment l’une de ses tantes souffrant d’arthrose : très vite, le voisinage entier sait que ses mains soignent..



Pour Josette, de Montélimar, le phénomène a démarré à 2 ans. « Je croyais que tout le monde était comme ça : quand je pose ma main sur quelqu’un, je ressens de l’électricité. Et quand j’arrive sur une zone souffrante, ça me pique, comme si une pointe jaillissait. Si je laisse ma main un moment, la piqûre s’en va et la souffrance de la personne aussi. Aujourd’hui, j’ai 85 ans et j’en ai soigné, des gens ! Jamais je ne me suis fait payer : ce don me dépasse, impossible de le monnayer. Je ne crois pourtant pas au bon Dieu… » Vivant de sa pension de veuve de gendarme, elle précise : « Si vous voulez que je vous soigne, ne me dites pas ce que vous avez ! Ma tête doit rester au repos. Si elle se met à gamberger, je ne suis plus bonne à rien. »






A Reims, Michelle dit la même chose. Dès l’enfance, elle ressent le désir irrésistible de toucher les gens – ce qui fait chauffer ses mains, jusqu’à les rendre brûlantes. Devenue coiffeuse, elle masse les crânes de ses clients… et les soulage de toutes sortes de maux. Parmi eux, des médecins qui la poussent à exploiter ce talent, répondant d’ailleurs à un besoin vital : ayant tenté de s’arrêter, elle tombe malade et doit reprendre. Elle monte un salon de massage, puis un cabinet de magnétiseuse où la consultent ses anciens clients médecins. Michelle les aide à poser des diagnostics et à soigner. « Le problème, pour aider à la recherche, dit-elle, c’est que je perds mes moyens quand on m’observe ou que j’ai trop d’informations sur les patients. »



Comme si l’on avait affaire à un processus très archaïque, où le néocortex ne doit pas intervenir. Notre esprit rationnel a d’autant plus de mal à comprendre que les guérisseurs ne se contentent pas de poser leurs mains sur leurs patients. Ils palpent aussi des flux invisibles qu’ils semblent peigner, ou rassembler, ou recoudre, vous expliquant, comme Pierre Yonas qui soigne l’équipe de handball de Savigny-sur-Orge : « J’ai senti une fuite d’énergie au niveau de l’omoplate d’un joueur, je l’ai colmatée. » L’affaire se corse quand on découvre que beaucoup soignent aussi à distance, souvent en se concentrant sur une photo du patient, et parfois à l’insu de la personne souffrante, celle-ci pouvant être un bébé ou un animal. « Par exemple, mes chevaux, dit Michelle, que je soigne depuis des années, après avoir appris, non seulement à les toucher, mais à me mettre à l’intérieur d’eux, à leur place. »



Hypothèses d’explication



Les guérisseurs eux-mêmes reconnaissent ne pas savoir « comment ça marche ». Beaucoup évoquent une grâce divine et quasiment tous insistent pour dire qu’ils ne servent que de catalyseur réveillant les capacités de guérison internes du patient. Nous interrogeons Brigitte Grimm-Laforest, présidente du Groupement national pour l’organisation des médecines alternatives (Gnoma) et vice-présidente du Syndicat national des magnétiseurs et praticiens des méthodes naturelles et traditionnelles (Snamap) – ces organisations militent depuis 1950 pour fédérer les guérisseurs autour d’une charte éthique et leur obtenir un statut officiel. « Notre vocation est d’abord de soigner, dit-elle. Des dizaines d’entre nous travaillent en France avec des médecins, parfois des hôpitaux. Mais scientifiquement, nous sommes incapables d’expliquer notre efficacité. Aux chercheurs qui nous traitent de charlatans, nous renvoyons la balle : venez donc nous étudier et dites-nous pourquoi ça marche ! Après tout, c’est votre boulot, pas le nôtre. »



Les scientifiques étudiant ces pratiques ne sont pas légion : le sujet est tabou. Mais des recherches existent. Ces mains qui soignent, se dit-on, dégagent probablement un genre d’électromagnétisme dont on devrait pouvoir découvrir comment il soigne. Cela rejoindrait le courant de pensée selon lequel une médecine « quantique », fondée sur les rayonnements, devrait compléter au xxie siècle la médecine « chimique », fondée sur les molécules.




Mais avant cela, il y a l’explication « placebo » : l’influence des guérisseurs, surtout psychologique, reposerait sur la croyance et la confiance du patient. Qu’en pensent les deux médecins francophones les plus connus actuellement pour l’intérêt qu’ils portent aux guérisseurs, David Servan-Schreiber et Thierry Janssen ?



On connaît l’empirisme du premier : « L’essentiel est de savoir si une méthode soigne, même si l’on ne peut expliquer pourquoi. La médecine moderne met les choses à l’envers, exigeant une explication avant même de tester ! A-t-on ici affaire à un placebo ? Oui, mais pas seulement. Toute médecine a un effet placebo, d’autant plus fort que thérapeute et patient y croient. Mais si ça se répète, de façon contrôlée, ça devient un traitement Vis-à-vis des guérisseurs, j’ai trois questions. Est-ce que ça marche ? La réponse est souvent oui. Est-ce reproductible par un même praticien ? Oui aussi. Est-ce transmissible à autrui ? Là, c’est beaucoup plus rare, ce qui complique beaucoup la recherche. » Sur les faits, David Servan-Schreiber n’a pas de doute. Il a pu constater, sur deux cancers traités par radiothérapie, un de la gorge, l’autre du sein, que l’action des « coupeurs de feu » avait effacé toute trace de brûlure. Dans les deux cas, la démarche avait été conseillée par le cancérologue, alors que les deux patients n’y croyaient pas.



Sur le processus à l’œuvre, le neuropsychiatre suggère une piste : « Toutes les fonctions du corps sont contrôlées par la sécrétion d’hormones dans l’hypothalamus, où se module l’équilibre du système nerveux sympathique et parasympathique, en grande partie sous le contrôle des émotions et de la pensée. C’est ainsi, par exemple, qu’une femme stressée peut ne plus avoir ses règles. Notre médecine ne sait pas se servir de ce mécanisme alors que les guérisseurs, j’en suis convaincu, le font d’instinct, jouant sur les équilibres hormonaux et nerveux autonomes qui facilitent les mécanismes de guérison. Il faudrait mettre sur pied un protocole pour expérimenter cette idée. »



Une hypothèse que le docteur Thierry Janssen fait rebondir à sa manière. Chirurgien devenu psychothérapeute, il s’est penché sur les pratiques des guérisseurs traditionnels et a même été initié à la Barbara Brennan School of Healing de Miami, où il a étudié deux ans. Convaincu de l’importance de la « qualité de présence » de quiconque veut soigner, il pense que beaucoup de gens ont un don ne demandant qu’à être entraîné. Des études sérieuses, avance-t-il, ont montré qu’un guérisseur concentré sur son action dégage un champ électromagnétique de sept à huit hertz. C’est la fréquence d’un cerveau en état de méditation, c’est aussi celle du champ géomagnétique terrestre selon l’échelle de Schumann, le champ sur lequel s’alignent sans doute les animaux migrateurs. Autrement dit, les guérisseurs, sans le savoir, se mettraient en résonance avec une énergie planétaire. Assez fantastique, cette hypothèse permettrait-elle d’expliquer, entre autres, commentun travail de guérison peut s’effectuer à distance ? Les réponses des guérisseurs eux-mêmes sont divisées. Les uns pensent être traversés par une force « sacrée » que nulle science ne pourra jamais appréhender. Les autres affirment qu'il n’y a rien de magique dans ces phénomènes de libération énergétique et que la science médicale aurait tout intérêt à les étudier de près. Voyez-vous une troisième solution ?




Patrice van Eersel
source: reiki toulouse
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Message par Kiwi Lun 18 Aoû 2014 - 9:52

Bonjour Dair

Article un peu long mais interessant. En effet les barreurs de feu travaillent avec certain hopitaux qui sont ouvert à cette pratique.. Surtout en province lorsqu'il y a déja une tradition dans la région. Stéphane allix avait présenté ces coupeurs de feu et autre guerisseurs surprenant, dans l'une de ses émissions " Enquête extraordinaire". Leur succés est toujours incompréhensible pour la raison. Cela vient du fait qu'ils travaillent tous sur la dimension énergétique de l'individu.

J'espere que dans les décennies à venir, la médecine occidentale reconnaitra l'importance de cette dimension dans l'état de santé... C'est déja en marche avec de nombreuses études mais il y a encore du chemin à faire pour revoir l'approche médicale et les protocoles de soin actuellement en vigueur.
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Message par Yoda Jeu 21 Aoû 2014 - 12:36

Kiwi a écrit:
J'espere que dans les décennies à venir, la médecine occidentale reconnaitra l'importance de cette dimension dans l'état de santé... C'est déja en marche avec de nombreuses études mais il y a encore du chemin à faire pour revoir l'approche médicale et les protocoles de soin actuellement en vigueur.

Oui, ce sera une bonne chose que les barreurs de feux, magnétiseurs et autres "médecins de l'énergie" puissent avoir leur place au côtés des autres. Ils font un travail aussi efficace voir plus efficace que les autres médecins, ils méritent d'être reconnu comme tel.

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Message par cl777 Lun 28 Mai 2018 - 20:55

Il est quand même curieux que les explications restent vagues alors qu'avec un peu de curiosité en étant émetteur énergétique vital, on comprend bien les phénomènes:

Tout être vivant "baigne" dans l'énergie vitale se trouvant partout à un potentiel permanent moyen. Sans cette énergie vitale, pas de vie.

Cette énergie vitale est absolument nécessaire au bon fonctionnement des organismes, Toute réduction du potentiel énergétique d'un être vivant conduit à l'apparition de pathologies.
Pourquoi ce potentiel pourrait descendre?
En temps normal, pour un humain, la respiration assure la captation énergétique en plus du "bain". Le potentiel énergétique vital de cet humain se situe au niveau de celui de l'environnement, tout va bien mais un coup de stress et l'organisme consomme à l'excès l'énergie vitale dont il dispose et ne peut pas compenser rapidement ce qui lui manque (à cause aussi de la respiration d'amplitude limitée dans ces conditions, souffle court). Il en résulte une baisse énergétique vitale globale. L'organisme perd sa capacité de réaction, les défenses immunitaires passent au ralenti.
Un virus opportunisme présent dans l'organisme va en profiter pour se développer, par exemple, en zona. Le système immunitaire va avoir du mal à contrer le virus en consommant un maximum d'énergie vitale et un déficit énergétique vital local important va apparaître.
Si le potentiel énergétique n'arrive pas à remonter du fait d'une circulation assez lente dans l'organisme, la pathologie s'installe et les douleurs post zostériennes perdurent.
Dans ces conditions, en tant qu'émetteur énergétique vital possédant un potentiel bien supérieur à la moyenne, mes mains vont me permettre d'identifier, quelquefois à bonne distance, l'aspiration d'énergie vitale de l'organisme en souffrance qui cherche à assurer sa survie. Cette aspiration, dans le cas du zona, est souvent locale ce qui permet d'identifier aussi la zone à compenser.

Mon intervention va se limiter à réduire la distance entre mes mains et la zone de l'organisme en souffrance de manière à augmenter le débit du fluide transmis.
Une fois le "remplissage" effectué, le système immunitaire de l'organisme va retrouver toute sa puissance et va neutraliser le virus.

Dan le cas de la brûlure, la consommation d'énergie vitale est importante localement. Se "brancher" sur l'identification de la personne souffrante va engager le processus de transfert énergétique permettant à l'organisme d'éviter la destruction des tissus, ce qui réduit notablement la douleur.

Pour l'avoir fait un certain nombre de fois, en direct et à distance, l'action de la compensation énergétique permet ne ne pas voir de cicatrice dans la zone brûlée.

Tout à été fait depuis une certain nombre d'années pour que l'énergétique vital ne soit pas reconnu, avec l'aide d'ailleurs de tous les énergéticiens qui n'ont jamais cherché à comprendre et qui se sont faits piégés pendant les tests censés prouver la réalité de l'énergétique vital en ne dénonçant pas le protocole.

Bref, on n'avance pas officiellement, heureusement que le bouche à oreille fonctionne pour tirer de mauvais pas ceux qui souffrent depuis longtemps.
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Message par cl777 Mar 29 Mai 2018 - 9:30

Il y a quand même une grande difficulté de compréhension pour une bonne partie des spécialistes de la médecine si elle s'en tient à chercher des explications uniquement dans le fonctionnement du corpusculaire.

Dans un monde idéal loin des pressions de ceux qui rejettent et ne cherchent pas à comprendre, il serait possible, dans un premier temps, de vérifier la possibilité de transmission à distance après identification d'une personne sensitive (25% de la population environ) et, bien sûr, l'intervention d'un "vrai" émetteur énergétique de type canal car malheureusement la plupart des émetteurs énergétiques sont de type aussi sensitif avec un potentiel énergétique instable ne permettant pas d'être assuré de réussir, au moment voulu, le test de transmission.

Rien que pour valider cette transmission, il y a donc déjà plusieurs conditions ce qui explique les ratés et les prises de position des détracteurs.

Pour que l'énergétique vital soit reconnu, il faudrait déjà qu'un maximum de personnes fassent les tests d'évaluation de capacité de manière à disposer d'un certain nombre d'émetteurs énergétiques permettant de mener à bien des expérimentations. C'est une des raisons de mes interventions sur les forums, susciter la curiosité dans l'espoir que les lecteurs fassent des découvertes, diffusent ensuite l'information mais surtout fassent bénéficier les souffrants de cette capacité.

Par contre, il est très difficile de prouver, sous protocole, un effet sur la santé puisqu'il faut commencer par identifier un certain nombre de souffrants dont l'organisme aspire fortement l'énergie vitale. Malheureusement le simple fait d'identifier cette aspiration est déjà le début d'une compensation du manque.
Sachant que cette compensation perdure même après avoir l'impression de ne plus rien faire, la grande majorité des souffrants identifiés ne va plus présenter d'aspiration d'énergie vitale au moment du déroulement du protocole du test de validation, ce qui va, encore une fois "prouver" l'inexistence de l'énergétique vital.

Je communique sur les forums depuis 2011, il m'a fallu un moment pour me rendre compte de la pression exercée, par certains émetteurs énergétiques vitaux qui protègent leur business et par les détracteurs, les plus actifs, qui sont totalement hypnotisés par leur concept du doute.

Quelle est la conséquence?

J'aurais pu, ayant maintenant du temps libre, sortir de l'ombre, et tenter de me rapprocher, dans un premier temps de l'INREES, par exemple, mais il y a plus de coups de bâton à recevoir que d'intérêt à chercher la diffusion officielle de l'information sur la réalité de l'énergétique vital.

Continuons donc avec le bouche à oreille, personne de peut intervenir sur ce moyen de communication même s'il est limité en efficacité.
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Message par l'angevin Mar 3 Juil 2018 - 17:20

bonjour,

il est facile pour un magnétiseur de rentrer dans une structure hospitalière:
-faire copain avec un chef de service
-faire ses preuves.

le plus dure ceux sont les preuves  de son efficacité car là on ne le ratera pas.

j'ai connu un barreur de feu qui travaillait dans un service d'urgence d'un hôpital communal,il avait de trés bon résultats et il avait un pass à toute épreuve: il était ambulancier dans cet hôpital.Des guérisseurs dans les hôpitaux 3090553067

il faut rentrer officiellement puis y faire avec discrétion son trou basé sur de l'efficacité toujours de l'efficacité

bonne journée
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Message par Kiwi Jeu 5 Juil 2018 - 11:30

Les coupeurs de feu collaborent surtout avec des petits hôpitaux de région ou leur pratique fait partie des meurs/tradition. Mais dans des hôpitaux de grandes villes, je pense que c'est plus rare, voir même inexistant.
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Message par l'angevin Jeu 5 Juil 2018 - 17:01

bonjour,

hélas en effet tu as raison.
dans les grandes villes, les hôpitaux sont le plus souvent universitaires où les organigrammes ne laissent pas la place à des intervenants extérieurs surtout non médecin.
dans les petites villes, l'ouverture est différente et un certain échange est plus réalisable; surtout que dans ces hôpitaux la porte est ouverte aux généralistes et l'équipement pour recevoir les brulés plus léger que dans les grands centres.
D'ailleurs de plus en plus les grands brulés sont tout de suite dirigés en hélico vers les centres spécialisés.
En plus de plus en plus de petits hôpitaux ferment créant un désert médical assez important.
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